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Pour son projet de logements sans obstacles, la Caisse de prévoyance du personnel de l’État du Valais (CPVAL) s’est appuyée sur les conseils de id-Geo pour la mise à disposition d’appartements conçus pour évoluer avec le temps selon les besoins des habitant·e·s. Voici un exemple de magnifique mandat inclusif et visionnaire mené par notre collègue Antoine Bellwald et pour lequel les médias suisses romands se sont intéressés. Bravo!

RTS TJ 12h45: Des appartements pensés pour le 3e et 4e âge par la caisse de pension de l’État du Valais, mercredi 4 novembre 2020

Canal 9: Label CPVAL « sans obstacles »: des appartements pour la 2e partie de vie, mercredi 4 novembre 2020

Le Nouvelliste: La Caisse de prévoyance de l’État du Valais inaugure une trentaine de logements sans obstacles, publié 4 novembre 2020

Le communiqué de presse de la CPVAL: Inauguration du label « Logement CPVAL sans obstacles », paru le 3 novembre 2020

Vous êtes-vous déjà posé la question de savoir quelles étaient les stratégies de déplacements des personnes à mobilité réduite en centre-ville ? Ou de connaître les impacts de modifications d’infrastructures piétonnes sur leurs déplacements ? Ou encore quels sont les besoins d’adaptation des espaces publics pour permettre à tout en chacun de se déplacer sans difficultés ?

Ces questions ont occupé id-Geo cet été dans le cadre d’un mandat auprès d’une collectivité publique de grande importance désirant réaliser une étude de cas pour le réaménagement de l’une de ses zones piétonnes fréquentées.

Les résultats ont permis d’orienter les choix stratégiques en termes de flux piétonniers et de développer un plan de mesures concrètes afin d’améliorer l’accessibilité et l’adaptabilité des infrastructures urbaines.

Réfléchissons ensemble à l’accessibilité de nos villes, maintenant !

« Viser la meilleure accessibilité possible dans un esprit d’amélioration continue » telle est la vision que souhaite adopter le Parc du Doubs auprès de son public.

Une mission ambitieuse pour laquelle id-Geo a participé en accompagnant l’élaboration d’une stratégie et d’un plan d’action en matière d’accessibilité universelle. Concrètement, la stratégie prévoit que les besoins particuliers soient à l’avenir évalués et pris en considération tout au long de la chaîne de services touristiques. Pour chaque domaine (infrastructures, sensibilisation, communication, offres, évènements), des actions concrètes seront planifiées dans le temps selon les limites imposées par la topographie, par les règlements en vigueur, par l’existant et par les possibilités techniques et financières.

Nous sommes heureux d’avoir pu collaborer avec les responsables du projet « tourisme accessible » du Parc du Doubs qui offre de l’ouverture, de la volonté et du professionnalisme pour mettre sur pied cette nouvelle politique afin de permettre au plus grand nombre de profiter de ce magnifique lieu.

Si vous aussi vous voulez améliorer l’inclusion dans le domaine du tourisme, n’hésitez pas à nous contacter et poser toutes vos questions.

Rendre vos projets plus inclusifs fait-il partie de vos préoccupations ? Vous souhaitez y voir clair dans les normes et le cadre légal relatifs à la construction accessible à tous ? La connaissance des besoins d’habitat et de déplacement des personnes en situation de handicap faciliterait vos prises de décision ?

Nous vous proposons la formation « Construction accessible aux personnes en situation de handicap et seniors » qui saura répondre à vos attentes. Une nouvelle édition est prévue le 10 septembre 2020.

Retrouvez les objectifs de la formation et les informations complémentaires sur notre page « Formation & Sensibilisation ».

Cette année, nous avons opté pour la thématique « senior et habitat » pour notre carte de vœux 2020. À vous de jouer !

Avez-vous trouvé ? Les réponses sont :

  1. L’interrupteur trop haut
  2. La présence d’une baignoire à la place d’une douche
  3. La porte de la salle de bain qui s’ouvre vers l’intérieur
  4. Les commandes tactiles des plaques de cuisson
  5. Les poignées peu ergonomiques
  6. Les placards trop hauts
  7. La mauvaise disposition des équipements

Vous souhaitez en savoir plus sur les recommandations et les bonnes pratiques en termes d’adaptation pour les logements seniors ? Contactez-nous et nous nous ferons un plaisir de vous conseiller.

Le Département de la cohésion sociale et de la solidarité de la Ville de Genève a initié, en étroite collaboration avec la Fédération genevoise d’associations de personnes handicapées et de leurs proches (FéGAPH) et id-Geo, un diagnostic d’accessibilité des prestations des services municipaux avec la participation des usagères et usagers.

Sur la base des recommandations issues de ce diagnostic participatif, le Conseil administratif de la Ville de Genève a présenté un plan de mesures qui engage la commune pour 2019-2025. Celui-ci prévoit quatre axes principaux : Information et accueil, Sensibilisation interne et externe, Mise en accessibilité des bâtiments publics, Participation. Autant de thématiques qui méritent d’être traitées par une approche intégrée et d’être questionnées continuellement.

Les résultats figurent dans le rapport « AccessibiltéS pour toutes et tous, pour une Genève inclusive » (rapport complet ici).

Comme chaque année depuis 2013, id-Geo rencontre les apprenti·e·s en seconde année de Coop Région Suisse romande pour une journée d’échanges et de sensibilisation sur les thématiques de l’accueil et de la communication avec les client·e·s en situation de handicap.

Faire ses courses n’est pas une tâche simple pour certaines personnes avec une diversité fonctionnelle. Elles peuvent avoir besoin d’un accompagnement spécifique qui nécessite une formation, du temps et l’accord de la direction. Les apprenti·e·s réalisent cette tâche avec intérêt, sérieux et énergie. Lors de cette journée, il a été évoqué des problématiques quotidiennes rencontrées par les personnes en situation de handicap, la définition même de ce qu’est une incapacité ou une situation de handicap qui intègre l’environnement. Tout cela, dans le but d’asseoir des bases pour une communication améliorée envers des demandes spécifiques et amener des pistes de réflexion sur le handicap et comment le surmonter.

En route vers des magasins et des collaborateurs·trices attentionnés et une société plus inclusive !

La conférence de presse pour le lancement du projet porté par la Fondation Emera et coordonné par id-Geo, dont voici le communiqué du 25 novembre, a reçu un bel engouement médiatique. Quelques liens ci-dessous :

RTS 19h30 : Un Valais touristique plus attractif pour les personnes en situation de handicap, publié le lundi 25 novembre 2019

Canal9 : Le Valais veut se rendre plus accessible aux touristes en situation de handicap, publié le lundi 25 novembre 2019

Le Nouvelliste : L’accessibilité de 7000 lieux touristiques du Valais répertoriés, publié le lundi 25 novembre 2019

Walliserbote : Barrieren abbauen, publié le 26 novembre 2019

RTS radio le 12h30 : Projet pour recenser les données d’accessibilité des lieux touristiques en Valais, publié le lundi 25 novembre 2019

Après une phase pilote convaincante, la Fondation Emera projette de collecter et publier les données d’accessibilité de 7’000 lieux touristiques sur l’ensemble du territoire valaisan. Une première en Suisse et un projet d’envergure nationale en collaboration avec id-Geo!

Le projet « Données numériques d’accessibilité » c’est quoi ?

Lancé en 2014 par Pro Infirmis, la méthode « Données numériques d’accessibilité » a pour objectif est de recenser et publier des informations fiables et détaillées concernant l’accessibilité des sites touristiques ou des lieux ouverts au public en les intégrant à différentes plateformes web existantes. Les informations peuvent être filtrées par type de handicap : mobilité réduite, déficience auditive, visuelle ou intellectuelle. En fournissant les informations sur l’accessibilité, toute personne à mobilité réduite (personne âgée, famille avec poussette, en situation de handicap, etc.) pourra par exemple se rendre avec facilité dans un hôtel, un restaurant, un musée, une piscine, une bibliothèque, des toilettes publiques ou encore un bâtiment administratif.

L’opération avance vite en Valais

La Fondation Emera a déjà commencé le travail dans le canton du Valais. Un avant-projet a été réalisé avec succès et a permis de saisir plus de 800 points d’intérêts notamment dans les districts de Sierre, Loèche, Conches et Rarogne oriental. Il s’agit désormais d’étendre ce travail à l’ensemble des régions touristiques du canton du Valais d’ici à 2021. Pour cela, notre société a été mandatée par la Fondation Emera pour coordonner l’ensemble des opérations (planification, saisie, contrôle et traitements des données et publication).

Nous sommes fiers de collaborer sur ce projet d’envergure visant à favoriser l’autonomie des personnes en situation de handicap tout en améliorant l’attractivité touristique de la région !

Pour plus d’informations

Pour en savoir plus sur l’avant-projet, vous pouvez visionner le reportage de Canal 9 ou l’article du Nouvelliste.

Si vous aussi désirez prendre part au projet en vous inscrivant bénévolement en tant qu’opérateur ou opératrice de saisie, vous trouverez plus de renseignements ici

 

C’est dans le cadre du programme « Autonomie » que le Bureau fédéral de l’égalité pour les personnes handicapée (BFEH) tend le micro à notre collègue pour donner son point de vue sur la thématique. Avec ses yeux de citoyen, engagé et concerné, il livre un texte pour le moins chargé de questionnements dont voici deux extraits :

« En tant que citoyen présentant une incapacité visible (cela a son importance), j’observe à quel point les individus s’excluent entre eux. L’exclusion est peut-être un fonctionnement rassurant du genre humain, son mode par défaut, auquel il a recours par paresse. L’inclusion, au contraire, exige soit des valeurs fortes que, soyons honnêtes, peu d’entre nous possèdent. Soit une combativité qui, si l’on poursuit à être honnête, constitue un effort pour passer du conceptuel – revoir son identité – à l’opérationnel. »

« […] arrêtons de parler d’un monde à part et d’en faire une spécificité d’une partie de la population dont on promeut pourtant son inclusion. Avant tout, cherchons ce qui est commun plutôt que d’entretenir une séparation. […] En cela, peu importe sa déficience, chacun peut développer son autonomie. La seule différence étant que ce sont parfois les autres qui posent les limites à cet accès. »

Lire le texte en entier sur le lien du Bureau fédéral de l’égalité pour les personnes handicapées.